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Pour une alimentation sans violence  - Episode 3 : Terres volées

 

 

POUR UNE ALIMENTATION
SANS VIOLENCE

 

Aujourd'hui, la plupart des produits que nous mangeons contiennent des ingrédients invisibles : des atteintes aux droits humains ou à l'environnement commises en toute impunité par quelques multinationales.

 

Ce n'est pas une fatalité ! Aidez-nous à faire progresser les droits humains en 2024.

Mettons fin aux accaparements de terres.

 

 

Notre stratégie pour la protection des biens communs

 

 

Dans le monde, de nombreuses communautés sont victimes d'accaparements de terres ou d'autres ressources naturelles, comme l'eau. Ces biens communs sont confiqués par de grandes entreprises, parfois sous les menaces et la violence. Privées de ressources, elles doivent alors émigrer, ou travailler pour ces entreprises. Mais certaines communautés résistent et luttent pour sauver leurs terres. Contre l'appétit des géants de l'agro-industrie, notre solidarité fait la différence !

 

Ainsi, en Equateur, les élevages industriels de crevettes font des ravages, comme en témoignent les membres du collectif "Unión Tierra y vida" dans notre webdoc : les rejets salés des bassins où elles sont élevées polluent les eaux douces utilisées pour l'agriculture locale et rendent peu à peu les terres stériles. Pour que les autorités du pays cessent de fermer les yeux, une seule solution : faire du bruit !

 

Nous avons déjà commencé à soutenir des paysannes et paysans mobilisé∙e∙s contre un autre projet dévastateur, dans la zone humide de Las Garzas, en finançant une enquête exhaustive sur la situation et en préparant une pétition à destination du Ministère de l'Environnement.

 

Vos dons nous permettront d'aller plus loin en 2024 : appui financier à nos partenaires pour faire connaître leur situation, préparation avec eux d'actions en justice, interpellation des entreprises concernées...

Dans ce troisième épisode de notre webdoc, nous nous confrontons aux abus de l'agro-industrie et rencontrons des paysannes et paysans chassé∙e∙s de leurs terres par un autre projet : l'élevage industriel de crevettes...


NON AUX BANQUES QUI FINANCENT LES ABUS DE L'AGRO-INDUSTRIE !

 

Alors que la crise climatique continue de s'intensifier, les flux financiers en faveur des deux plus grands contributeurs au changement climatique - les combustibles fossiles et l'agro-industrie - poussent la planète au bord du gouffre. En septembre, nous avons commencé à enquêter sur la responsabilité des banques dans certaines atteintes aux droits humains et à l'environnement... Saviez-vous que les banques investissent, chaque année, plus de 50 milliards d'euros dans l'agro-business ?

En 2024, nous lancerons une campagne de mobilisation citoyenne contre les banques qui financent l'agro-industrie et le dérèglement climatique. 

 

 

Ensemble, faisons de cette prochaine campagne un succès !

 

 

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VOS DONS EN ACTION

Il faut 6 000 €, en moyenne, pour assurer en urgence la protection d'un∙e syndicaliste victime de menaces.

JE DONNE 30 €
Avec 15 000 €, nous pouvons mener une nouvelle enquête sur les atteintes aux droits humains dans l'agro-industrie.

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30 000 €, c'est la somme qu'il faut réunir pour une campagne d'interpellation réussie, voire une action en justice.

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VOIR LES AUTRES EPISODES

Episode 1

Banana Spleen

La banane est le fer de lance de l’économie équatorienne, pourtant elles y sont parfois cultivées dans des conditions proches de l’esclavage.

Episode 2

Briser le silence

Dans les bananeraies, des femmes dénoncent les discriminations et les agressions sexistes et sexuelles.

Episode 3

Terres volées

Des paysannes et paysans se lèvent contre les manoeuvres de grandes entreprises pour s'emparer de leurs terres.

Episode 4

L'action collective

Parole aux militant-e-s qui nous confient leur vision pour garantir la protection de l’environnement et les droits humains.

Raquel“Ici, les producteurs de crevettes font leurs lois. Ils font ce qu’ils veulent. Rien ni personne ne peut les arrêter. Personne ne peut rien dire car sinon, on ne te retrouve pas au petit matin… Ils ne te laissent plus entrer dans le secteur... ou ils te tuent.”

Raquel est militante du mouvement Union Tierra y Vida.