Ensemble, faisons pression pour mettre fin à la répression

Passez à l'action !
Dress to Oppress

EXIGEONS LA FIN
DE LA REPRESSION

 

Des ouvriers et ouvrières bangladais·e·s sont réprimé·e·s et emprisonné·e·s pour avoir réclamé des droits fondamentaux. Pourtant, certaines grandes marques continuent de travailler avec des usines impliquées dans ces abus.

 

 

Quand des revendications légitimes 
deviennent des crimes

 

En novembre 2023, lors des manifestations pacifiques des travailleur·se·s du textile au
Bangladesh pour des salaires décents, l'État a répondu par une répression brutale : 

 

• 4 personnes tuées 
• 131 arrestations 
• plus de 40 000 personnes poursuivies 

 

Les accusations, souvent sans preuves, visent à dissuader toute activité syndicale.

 

Pendant ce temps, les grandes marques françaises, comme Decathlon, Carrefour et Kiabi
, continuent de bénéficier du travail des ouvrier·e·s réprimé·e·s.

 

Elles doivent agir pour exiger l'arrêt des poursuites et défendre la liberté syndicale.

 

 

“Faire abandonner ces affaires est une première étape nécessaire pour parvenir à une industrie où les travailleurs et les travailleuses peuvent vivre dignement de leur salaire et où les obstacles à la liberté syndicale sont abattus. Nous ne vivrons pas dans la peur. Nous demandons des salaires décents pour soutenir nos familles.”

 

Kalpona Akter 
Présidente de la Fédération des travailleur∙se∙s de l'industrie textile et de l'habillement au Bangladesh

40 000

travailleur·se·s poursuivi·e·s pour avoir défendu leurs droits. 
Les ouvrier·e·s du textile qui fabriquent nos vêtements sont emprisonné·e·s au Bangladesh
pour avoir réclamé des conditions de travail décentes.

 

 

Depuis le drame du Rana Plaza, les négociations salariales ont échoué à garantir un revenu décent aux travailleur·se·s du textile au Bangladesh. Face à la répression syndicale et aux violences policières, les marques, malgré leurs promesses publiques, n'ont pas agi de manière significative pour protéger ces ouvrier·ère·s.

 

 

 

ActionAid France, aux côtés de la Clean Clothes Campaign, demande aux entreprises de faire pression sur leurs fournisseurs pour retirer les plaintes abusives, réembaucher les travailleur·se·s licencié·e·s, et indemniser les victimes.

 

 

 

Elles doivent enfin s’engager à garantir le droit syndical
et des salaires justes pour tou·te·s.

Votre marque préférée est-elle complice de la
répression violente des travailleur·se·s ?


Résultats de l'enquête menée par la Clean Clothes Campaign avec les syndicats locaux.

 
 

Exigez la fin de la répression !

Des milliers d'ouvrier·e·s bangladais·es sont réprimé·e·s pour avoir réclamé des conditions de travail dignes. Exigeons de Decathlon, Carrefour et Kiabi qu'elles agissent immédiatement. Ces marques ne doivent pas être complices de la répression !

Refusez leur silence complice 📢
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Les ouvrier·ère·s au Bangladesh sont réprimé·e·s pour avoir réclamé des conditions de travail dignes. @Decathlon @Carrefourfrance @Kiabi.france: agissez pour l'abandon immédiat des poursuites et mettez fin aux menaces ! Votre responsabilité ne s’arrête pas aux portes des usines qui vous fournissent. #WagesNotJail
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Votre message

Madame, Monsieur,

À la suite de manifestations salariales largement pacifiques l’année dernière au Bangladesh, des usines d’habillement liées à votre chaîne d’approvisionnement ont engagé des poursuites judiciaires contre plusieurs milliers d’ouvrier·ère·s, identifié·e·s ou non.
Un an plus tard, aucune affaire n’a été classée.
En pratique, les plaintes contre des personnes identifiées semblent peu fondées, et les plaintes « en blanc » signifient que toute personne employée dans les usines concernées peut se voir traîner en justice, à tout moment et arbitrairement. Cette situation est une entrave à la liberté d’expression et d’organisation collective dans les usines.

Au nom de vos engagements éthiques, vous avez un rôle à jouer en usant de votre influence auprès de vos fournisseurs pour que toutes les accusations soient officiellement annulées.
Je compte sur vous pour défendre les droits fondamentaux des travailleuses et travailleurs bangladais·e·s à la liberté d’association et à un salaire décent.
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Merci !

Votre participation est un pas de plus vers la justice sociale pour les ouvrier·e·s du textile au Bangladesh. Ensemble, nous faisons entendre leur voix.

Pour aller plus loin dans ce combat, votre soutien financier est essentiel. Un don, même modeste, permet à notre ONG de poursuivre ses actions pour défendre les droits humains et améliorer les conditions de travail.

Merci de votre engagement à nos côtés.

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